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Hadopi, PUR, LOPPSI, ACTA… et hop, censure à la demande !

La dernière campagne de pub ‘HADOPI’ en aura fait rire plus d’un (pas Emma Leprince bien sûr). Qui ne se mettrait pas à pirater si ça pouvait éviter à ses enfants l’avènement de cette ‘Loft-star’ en 2022 ?

Si ça ne vous a pas fait rire, essayez pourquoijepirate.fr et/ou paspeurdhadopi.fr. Ca marche pas ? En fait c’est pas drôle.

Reste les 3 millions d’euros (publics!) versés à une agence qui recrute des stagiaires au poker pour un travail au rabais, qui peuvent gratter quelque-part aussi… (ça peut vous gratter à l’école de vos enfants par exemple…)

La dernière nouvelle cette l’épopée gouvernementale sur la question commence à mieux montrer le but final de tout ça (à mon sens le seul qui donne une logique à cette suite (LCEN, HADOPI, LOPPSI2, ACTA…) – jusqu’ici on pouvait (presque) croire que c’était de la gesticulation politicienne. Là on comprend que c’est plus grave (mais le gros est déjà passé))

à l’ONU, le rapporteur pour la promotion et la protection de droit à la liberté d’opinion et d’expression a bien compris, en tous cas.

Je recommande plus que chaudement la consultation régulière du site de la quadrature du net sur ces thèmes.

loi Hadopi: tous coupables.

Le 30 juin 2006, la loi DADVSI était votée, dont la stratégie anti-piratage reposait sur les DRM, qui ne fonctionnent pas (ou trop bien: il est très facile de ne pas pouvoir voir/entendre un contenu que l’on a pourtant payé…). Son article 1 portant sur une Licence Globale, qui plaisait à tous sauf aux majors, avait été enterré par l’UMP (pourquoi ?), dans l’urgence.
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